Audrey-Rose a toujours vĂ©cu dans l’opulence et le bonheur jusqu’à la mort de sa mĂšre. Depuis, malgrĂ© la compagnie de sa tante et ses robes en soie, la jeune fille mĂšne une vie secrĂšte. Contre l’avis de son pĂšre et les attentes de la haute sociĂ©tĂ©, Audrey-Rose passe beaucoup de temps dans le laboratoire de son oncle pour Ă©tudier la mĂ©decine lĂ©gale, en compagnie de Thomas, un apprenti charmant, intelligent mais mĂ©prisant. Elle passe ainsi ses aprĂšs-midi Ă  dissĂ©quer et Ă  lire Ă  travers les corps humains. Mais une sĂ©rie de meurtres perpĂ©trĂ©s par un certain Jack l’Éventreur Ă  Whitechapel vont l’accaparer. Chaque corps est mutilĂ© et les crimes sont de plus en plus horribles. Audrey-Rose et Thomas vont enquĂȘter afin de dĂ©couvrir le meurtrier qui semble graviter autour de la famille de la jeune femme. Est-ce son pĂšre, dont l’absence coĂŻncide avec l’arrĂȘt des meurtres ? Son oncle, dont les connaissances en anatomie pourraient ĂȘtre celles du meurtrier ? Le commissaire Blackburn qui la tient Ă  l’Ɠil ? Ou encore Thomas qui, sous ses airs de jeune arrogant, semble cacher beaucoup de choses?
 À travers les descriptions d’autopsies, et de nombreux rebondissements, l’auteur nous plonge avec horreur et Ă©lĂ©gance dans les bas-fonds londoniens du XIXe siĂšcle et de la science mĂ©dico-lĂ©gale.

 Comme vous le savez je suis pas trĂšs douĂ©e pour chroniquer Ă  l’Ă©crit, donc je serais brĂšve.

J’ai lu ce livre avec Johanna et je l’ai adorĂ© ! Pour du YA je l’ai trouvĂ© trĂšs bien travaillĂ© avec une chouette intrigue, un personnage principal gĂ©nial et un contexte historique hyper intĂ©ressant. Audrey Rose est en plus « le cul entre deux chaises », car le fait qu’une jeune femme (qui plus est bourgeoise) fasse un mĂ©tier tel que l’Ă©tude des corps n’Ă©tait pas convenable. C’est donc son pĂšre qui l’obligera Ă  un moment du livre Ă  choisir entre rester chez elle, avoir un toit et arrĂȘter l’autopsie ainsi que ses recherches sur l’assassin, ou bien continuer, mais sans aucun soutient de la part de sa famille qui la mettra Ă  la porte. J’ai beaucoup apprĂ©ciĂ© ce point de l’histoire.

Je suis dĂ©solĂ© de ne pas savoir quoi dire mais rĂ©ellement j’ai beaucoup aimĂ© et puis il vaut mieux que vous ne sachiez rien !

Vous comptez le lire vous aussi ?